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" ... Le Silence il est certain qu' mon c t , ainsi que songes, tendue dans un bercement de promenade sous les roues assoupissant l'interjection de fleurs, toute femme, et j'en suis une qui voit clair ici, m'exempte de l'effort prof rer un vocable: la complimenter haut de quelque interrogatrice toilette, offre de soi presque l'homme en faveur de ce qui s'ach ve l'apr s-midi, ne pouvant l'encontre de tout ce rapprochement fortuit, que sugg rer la distance sur ses traits aboutie une fossette de spirituel sourire. Ainsi ne consent la r alit ; car ce fut impitoyablement, hors du rayon qu'on sentait avec luxe expirer aux vernis du landau, comme une vocif ration, parmi trop de tacite f licit pour une tomb e de jour sur la banlieue, avec orage, dans tous sens la fois et sans motif, du rire strident ordinaire des choses et de leur cuivrerie triomphale: au fait, la cacophonie l'ou e de quiconque, un instant cart , plut t qu'il ne s'y fond, aupr s de son id e, reste vif devant la hantise de l'existence..."