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Beskrivelse
R sum Maxime de Chalandrey, jeune homme fortun , fait la connaissance d'une myst rieuse jeune femme. Il assiste ainsi involontairement l'ex cution d'un membre d'une association de malfaiteurs qui portent tous au doigt une bague appel e l'oeil de chat. De nombreuses p rip ties l'am neront d manteler ce r seau. Fortun Hippolyte Auguste Abraham-Dubois, dit Fortun du Boisgobey, n Granville le 11 septembre 1821 et mort en f vrier 1891 Paris, est un auteur fran ais de romans judiciaires et policiers (Le Pouce crochu, Le Crime de l'omnibus, Le Collier d'acier, etc.), mais aussi de romans historiques (Le Demi-Monde sous la Terreur, Les Collets noirs, etc.), ainsi que quelques r cits de voyage (Du Rhin au Nil). Biographie Issu d'une famille ais e, son p re fut maire de Granville de 1830 1834 et d put de la Manche pendant 18 ans, Fortun du Boisgobey a fait ses tudes au Coll ge d'Avranches puis au lyc e Saint-Louis et enfin l' cole de droit. Durant la Monarchie de Juillet dont sa famille tait partisane, il sert de 1844 1848, dans la section des soldes de l'arm e d'Alg rie avant de poursuivre ses voyages en Orient. Il ne devint feuilletoniste que sur le tard, apr s avoir abandonn l'Administration des Finances. Ayant fait son entr e en litt rature en 1843, avec la publication dans le Journal d'Avranches, sous le nom de nom de plume de Fortun Abraham-Dubois, une s rie intitul e Lettres de Sicile, o il racontait un voyage effectu l'ann e pr c dente, il renoue avec les lettres, la suite d'un revers de fortune, en 1868, sous le nom de nom de plume de Fortun du Boisgobey, avec une histoire intitul e Deux com diens dans Le Petit Journal, qui sera dit e en livre sous le titre l'Auberge de la Noble-Rose en 1880. L'histoire aura du succ s aupr s du public, et Paul Dalloz, du Petit Moniteur, signera avec l'auteur un contrat 12 000 francs, un an pour sept ans. Le succ s d'Une affaire myst rieuse et du For at colonel, tous deux publi s en 1869, fait de cet crivain prolifique, qui comptera plus de soixante oeuvres son nom, l'un des feuilletonistes les plus populaires. En 1877, le Figaro l'engage pour une s rie de romans, qui augmenteront le tirage du journal. Bien que parfois un peu moins convaincants que ceux d' mile Gaboriau, avec lequel son nom est g n ralement associ , ses romans policiers ont n anmoins connu une grande diffusion et l'ensemble de ses romans a fait l'objet d'une traduction. Du Boisgobey pr sida la Soci t des gens de lettres en 1885 et 1886. Son nom de plume n' tait en r alit que l'ancien nom de sa famille (Abraham du Boisgobb ) avant la R volution, qu'il reprit Nicolas Abraham avait acquis la vavassorie noble du Boisgobey en 1538, et l' poque de la R volution, son grand-p re avait raccourci son nom en Abraham-Dubois. Tomb malade deux mois avant sa mort il se fit transporter rue Oudinot chez les fr res de St-Jean de Dieu o il continua son travail avant de s' teindre le 26 f vrier 1891. Il fut inhum au cimeti re Montparnasse, son acte de d c s tant enregistr la mairie du VII arrondissement.