Les Voyages de l'Iyanda

Ce roman examine les raisons pour lesquelles, l' poque de l'Empire Romain, les trois des plus minentes enclaves autour de la Grande Mer, connue comme la Mer M diterran e, taient sur les c tes de l'Afrique. Ils taient Alexandrie, Cyr na que et Carthage, clips es uniquement par le port d'Ostie qui servait Rome. La coop ration troite entre les Africains et les Grecs de Cyr na que est diminu e par de nombreux historiens, qui d pendent de comptes-rendus des Grecs et minimisent le r le de l'Afrique dans le commerce autour de la Grande Mer. La bonne entente entre Taruga, le marchand trans-Saharien, et Alexandros, le marchand traitant travers la Grande Mer, symbolise la relation qui poussait les Africains et les Grecs, en d pit de la diversit de leurs cultures, soulever Cyr ne et Apollonie, au statut du troisi me centre de commerce le plus prosp re autour de la Grande Mer. l' poque romaine, une partie seulement de l'Alg rie actuelle, tait ainsi nomm e. Il y a beaucoup de sp culations sur l'origine du nom. Je pr f re la version grecque: "A-frique" signifiant "sans froid" parce que c'est ce qui est le plus appr ci sur le continent. Le contexte g ographique est d fini l'aide de noms modernes de toutes les rivi res, telles que le Rh ne, la Gambie, le Niger, etc. Le mot "tribus" est vit , de pr f rence au mot "nations." Avec de telles contraintes, ces livres sont destin s tre de valeur ducative et pas seulement des oeuvres de fiction historiques. Cyr ne et Carthage, n' taient pas des colonies comme telle. Elles taient des colonies autoris s et pris en compte par les africains originaires, dans les deux cas montrant la compassion pour la situation des r fugi s. Les Grecs qui ont nomm Cyr ne fuyaient une famine d vastatrice sur l' le de Thera. Carthage, annex par la Reine Elissa de Ph nicie, maintenant au Liban, fuyait la vengeance de son fr re, Pygmalion. Les grecs sont arriv s en tant que r fugi s conomiques, les Ph niciens comme r fugi s politiques. L'histoire grecque de ces colonies, crite au moins 400 ans plus tard, aurait t biais avec des nationalistes. Ces r fugi s co-existaient avec les Africains qui taient dans la majorit , se fusant avec eux par le mariage, la conversion religieuse et l'assimilation culturelle et politique. L hospitalit universelle des africains tait un facteur dans la facilit avec laquelle les Europ ens r ussirent "occuper" puis "coloniser." Le terme "colon" am liore le statut des colons, le terme "r fugi " ne le fait pas. cette poque, les colonisateurs taient les Romains. Simon accompagne Mark Rome et gagne un aper u de la vie et des institutions de Rome, r v lant de nombreuses r pugnantes coutumes. La colonisation est un vol arm , souvent ne profitant que la haute bourbourgeoisie. Cela tait vrai pour l'Empire Romain comme elle l'a t pour l'Empire Britannique. La souffrance et la cruaut inflig e la population autochtone par les "B tisseurs d'empire" comme Cecil Rhodes et Robert Clive est masqu e sur les livres scolaires d'histoire. Les exploits Africains sont souvent usurp s par les Europ ens. Hannibal Barca tait un Carthaginois Africain, qui envahit l'Italie, en traversant les Alpes avec trente quatre l phants Africains. Des livres crits propos de Hannibal montrent une statue non authentifi e d'une figure europ enne assum e tre Hannibal. Les Carthaginois pourrait tre les premiers marins s'aventurer travers le d troit de Gibraltar, ou piliers d'Hercule, comme on l'appelait alors. Hanno de Carthage navigua sur la c te de l'Afrique de l'ouest deux mille ans avant les portuguais et atteint le Gabon en Afrique centrale. Hasdrubal, le navigateur, navigua Britannia. Les Africains ont invent la technique de masse production par laquelle ils ont pu construire leur gros navires de guerre en peu de temps et en gr