La Metamorphose 2

Consid rons la mis re humaine. Admettons que la mis re humaine est donn e comme le refus de la Soci t humaine de procurer tout un chacun et chacune, le minimum vital qui lui permettra de vivre normalement, m me si la- dite personne vivant en permanence dans ladite soci t , est au ch mage ou sous-employ e, n'a jamais eu l'opportunit de travailler durant son existence coul e, ou est invalide temporairement ou d finitivement, de mani re acquise ou h r ditaire. Admettons que la Loi conomique r gissant toute Soci t humaine actuelle, et qui veut que le Profit soit le "motif d'investissement ou du travail de l'Entrepreneur," ordonne pr cis ment ladite mis re humaine en ce sens que la Cr ation d'un Fonds d' Allocation-ch mage perp tuelle, d'une Assuance-Maladie gratuite pour tout individu vivant en permanence dans ladite soci t , et le Remplacement progressif de l'Ouvrier et l'Ouvri re par la machine-outil ou robot, au sein de l'appareil de la production conomique], restent des dispositions annulant le Profit conomique et lib rant purement et simplement l'Int r t conomique qui r mun re l'Argent emprunt . Il en r sulte le raisonnement qui suit: Premi rement, il est de bon sens que la Cr ation imm diate d'un Fonds d'Allocation-ch mage perp tuelle devant verser un minimum de ressources financi res toute personne vivant en permanence dans la soci t , et destin radiquer absolument la pauvret dans ladite soci t , d'une Caisse d'Assurance-maladie devant, le cas ch ant, couvrir les frais m dicaux de tous ordres de tout citoyen et tout individu vivant en permanence dans la soci t , et la Suppression syst matique et progressive du "travail de robot humain" alli nant et d gradant l' tre humain, ici m me aux tats Unis d'Am rique, le "Pays de coeur" de l'Auteur du pr sent ouvrage, sont des mesures conomiques prendre. Deuxi mement, les tats Unis d'Am rique ayant t consacr s le "Centre de l'EDEN retrouv ," entendent servir de mod le la totalit des pays du monde.