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Beskrivelse
Une nouvelle enquête policière pour le Docteur K, au coeur du métro parisien
Un producteur de films X et un proxénète sont sauvagement assassinés coup sur coup. Les prélèvements d’ADN accablent un prêtre de Saint-Séverin. Mais pourquoi l’homme d’Église mènerait-il une telle croisade contre le vice ? Et qui est la mystérieuse inconnue qui envoie des messages aux victimes le jour de leur mort ?
Claude, la jeune chef de groupe de La Crim’, doit résoudre l’énigme si elle veut gagner le respect de toute l’équipe.
Dans ce nouvel épisode de sa saga policière, le Docteur K, Prix Littré 2010, nous entraîne dans le dédale des stations fantômes du métro parisien.
Un roman noir au suspense haletant
CE QU''EN PENSE LA CRITIQUE
- "Avec humour, multipliant les renvois amusés à ses thrillers précédents, distillant quelques anecdotes sur sa (longue) vie de praticien hospitalier, ne comptant pas les pistes brouillées et les indices tortueux, Olivier Kourilsky s’amuse à nous faire tourner d’un côté et de l’autre." (Aurélie Haroche, JIM Plus, 6 avril 2013)
- "Le style est enlevé, rythmé et l''écriture facilement abordable n''est pas dénuée d''humour permettant quelques respirations nécessaires entre deux assassinats !" (Maryline Martin, Le Lire, le Dire mais aussi Ecrire..., mercredi 29 mai 2013)
A PROPOS DE L''AUTEUR
Olivier Kourilsky, alias le Docteur K, est médecin néphrologue, professeur honoraire au Collège de médecine des Hôpitaux de Paris ; il a dirigé le service de néphrologie du Centre Hospitalier Sud-Francilien
Il écrit des romans policiers depuis un peu plus de dix ans et a publié six ouvrages depuis 2005, dont Meurtre pour de bonnes raisons, prix Littré 2010.
Ses personnages évoluent souvent dans le monde hospitalier, entre les années soixante et aujourd’hui. Au fil du temps, on suit le professeur Banari, le commissaire Maupas, le commandant Chaudron, jeune policière chef de groupe à la Crim''…
Olivier Kourilsky est membre de la Société des gens de lettres et de la Société des auteurs de Normandie.
EXTRAIT
Le Père Louis Auffret ferma la porte du presbytère et descendit les marches du perron pour emprunter la rue des prêtres Saint-Séverin. Il longea le jardin et entra dans l’église. Il lui restait une quinzaine de minutes avant la messe de dix-neuf heures.
Le lieu saint était maintenant presque vide. Un peu plus tôt, vers dix-sept heures, deux artistes avaient interprété une version pour orgue et violoncelle des Quatre saisons. Les soirées rallongeaient en ce mois de mai, et les touristes qui se pressaient dans le quartier étaient venus en nombre, attirés par les tracts distribués rue Saint-Séverin et par les affiches apposées à l’entrée. Il y aurait sûrement moins d’affluence à l’office de semaine…
Le jeune prêtre se signa à l’entrée et contempla le spectacle qui s’offrait au visiteur. L’architecture gothique et les vitraux de cette église, la plus ancienne de la rive gauche, incitaient au recueillement.