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Beskrivelse
Dans les derniers jours de mai 1793, un des bataillons parisiens amen s en Bretagne par Santerre fouillait le redoutable bois de la Saudraie en Astill . On n' tait pas plus de trois cents, car le bataillon tait d cim par cette rude guerre. C' tait l' poque o , apr s l'Argonne, Jemmapes et Valmy, du premier bataillon de Paris, qui tait de six cents volontaires, il restait vingt-sept hommes, du deuxi me trente-trois, et du troisi me cinquante-sept. Temps des luttes piques.